Malgré les travaux imposant tout autour de la belle alcôve située au côté des toilettes, Roméo s'y est retrouvé régulièrement au cours de l'hiver, laissant présager que la nichée 2023 pourrait se dérouler dans ces parages. Aux premiers jours du printemps, le 2 avril, grande surprise, mon bon ami Richard Guillet, ornithologue insatiable, observait Juliette aux abords de l'alcôve. Quelle étrange observation si tôt en avril. Il faut comprendre que parmi les nichées que j'avais eu le loisir jusqu'alors de suivre (une douzaine), les plus hâtives se sont conclus dans la première semaine de mai, à part une seule, celle justement du même couple, leur toute première connue en 2020, découverte par notre regretté ami Robert Dupont. Cette nichée, la plus hâtive des hâtives et ce par près de trois semaines, c'était conclue les 17 et 18 avril. Donc, observer en dehors du nid Juliette, deux semaines avant la conclusion de la plus hâtive de ses nichées, laissait sous-entendre que cette dernière était peut-être un échec. Nous étions perplexes devant cette troublante et pourtant des plus belles des visions. Nous avons poursuivi nos observations de fin du jour afin de mieux comprendre ce qui se passait. Ces dernières ne nous ont alors menés nulle part. Cette présence de Juliette demeurait bien mystérieuse. Nous l'avons retrouvée là presque quotidiennement pendant près d'une semaine. L'image que je vous présente ici nous la montre perchée à hauteur des yeux tout juste après sa sortie à la fin du jour. Une vision exceptionnelle en ce qui la concerne, elle qui se perche habituellement bien en hauteur lors de ses sorties.
Malgré les travaux imposant tout autour de la belle alcôve située au côté des toilettes, Roméo s'y est retrouvé régulièrement au cours de l'hiver, laissant présager que la nichée 2023 pourrait se dérouler dans ces parages. Aux premiers jours du printemps, le 2 avril, grande surprise, mon bon ami Richard Guillet, ornithologue insatiable, observait Juliette aux abords de l'alcôve. Quelle étrange observation si tôt en avril. Il faut comprendre que parmi les nichées que j'avais eu le loisir jusqu'alors de suivre (une douzaine), les plus hâtives se sont conclus dans la première semaine de mai, à part une seule, celle justement du même couple, leur toute première connue en 2020, découverte par notre regretté ami Robert Dupont. Cette nichée, la plus hâtive des hâtives et ce par près de trois semaines, c'était conclue les 17 et 18 avril. Donc, observer en dehors du nid Juliette, deux semaines avant la conclusion de la plus hâtive de ses nichées, laissait sous-entendre que cette dernière était peut-être un échec. Nous étions perplexes devant cette troublante et pourtant des plus belles des visions. Nous avons poursuivi nos observations de fin du jour afin de mieux comprendre ce qui se passait. Ces dernières ne nous ont alors menés nulle part. Cette présence de Juliette demeurait bien mystérieuse. Nous l'avons retrouvée là presque quotidiennement pendant près d'une semaine. L'image que je vous présente ici nous la montre perchée à hauteur des yeux tout juste après sa sortie à la fin du jour. Une vision exceptionnelle en ce qui la concerne, elle qui se perche habituellement bien en hauteur lors de ses sorties.